Les BTS 1 CI rencontrent Jeanne Robet au festival longueur d'ondes à Brest

Animation de la rencontre avec Jeanne Robet.

Restitutions faites par les étudiants de TS1CI

Extraits :

Rayssa : «Jeanne Robet nous a confié elle ne dénonce rien en particulier dans ses podcats : il est surtout question d’histoires qu’elle a pu entendre, de personnes rencontrées. Ce sont surtout les rencontres qui l’inspirent. Je me suis rendu compte que c’est un métier qui ne rentre pas dans une routine. »

Lyah : « Une création sonore relève d’un travail artistique : cela demande du temps et de la rigueur.  Pour trouver un thème sur lequel parler, Jeanne Robet, part à la rencontre de personnes qui ont quelque chose à dire. En effet, elle trouve plus intéressant cette manière de fonctionner que de travailler sur un sujet précis. Dans ses podcasts, elle ne se montre pas très souvent. Lors de l’animation, elle s’est décrite comme une ombre derrière ses podcasts. Elle préfère mettre en avant ce que les autres ont à raconter. Ce métier pour elle relève d’une passion, ce qu’il anime c’est de partir à la recherche d’informations, à la rencontre de gens ».

Killian : le cadre du Festival longueur d’ondes qui s’est déroulé le jeudi 30 janvier 2025 aux Capucins, nous avons eu l’opportunité de rencontrer Jeanne Robet et d’échanger sur trois de ses créations : « Péril jeune »,  « La maison saccagée » et « violent femme ».  Nous avons pu en apprendre plus sur le métier de créatrice sonore et de documentariste qui permet de récolter des documents bruts dans l’optique par la suite d’être en mesure de les exploiter et d’offrir aux auditeurs une histoire compréhensible de tous. Ce métier relève pour Jeanne Robet de la spontanéité, de la liberté »

Mme Espérabé Vignau professeure de Lettres et Mme Danard, Professeure documentaliste.